Après le spectacle DRAG, la compagnie des Petites Secousses continue d'explorer un théâtre d'autofiction sincère et intime.

l a mon premier regard le matin, les yeux à peine ouverts. Il a mon dernier regard le soir avant de m’endormir.
Je sais la place qu’il a prise et je me déteste de le laisser faire.
J’ai beau tenter des trucs, le maudire, l’abandonner, l’éteindre. Je lui reviens, toujours. Pour une nouvelle petite décharge de dopamine.
"A un moment, j’ai perdu le contrôle et petit à petit, j’ai remarqué l’influence qu’il a sur mon comportement, sur ma relation au monde, sur ma capacité à me concentrer, sur mes pensées, sur mon anxiété, aussi.
J'ai pris conscience du vide qu'il remplit. Alors j'ai essayé de rompre et le vide s'est mis à parler très fort."